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  • NUMÉRO 2

    CHF 8.00

    Populismes », racismes, et néofascismes : les monstres de la mondialisation ?

    Penser ensemble la montée des mouvements réactionnaires et racistes et la violence du logiciel néolibéral, c’est le credo – et la démonstration – qui animent, modestement, ce deuxième numéro de Lendemains solidaires. Offrant recul nécessaire et point d’appui pour des réflexions ultérieures, ce numéro fait entendre un autre son de cloche. En guise d’entrée en matière, les trois premiers auteurs explicitent le lien entre racisme et maldéveloppement. Dans leur réflexion sur le caractère politique du racisme, les chercheurs Federico Tarragoni et Quinn Slobodian révèlent ensuite la supercherie du « populisme de droite » : le premier en s’attaquant à son profil sociopolitique et le second à son profil économique soi-disant « anti-système ». Sont ensuite étudiés divers visages de l’exclusion – promoteurs fascisants de l’Hindutva, l’idéologie du suprématisme hindou, l’apartheid israélien, le régime bolsonarien… – en lien avec le phénomène global de maldéveloppement à l’ère de la mondialisation néolibérale. Fidèle à son approche, notre revue présente des analyses et des expériences de lutte par pays/régions ainsi que des éléments de réponses concrètes émanant des mouvements sociaux. Elle donne enfin la parole à des expert·es du système des Nations Unies. Bonne lecture !

  • NUMÉRO 3

    CHF 8.00

    Le droit à la santé dans les sillages de la crise sanitaire

    La santé « est un état de complet bien-être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. » Depuis cette affirmation datant de 1946, la santé a été consacrée, deux ans plus tard, comme un droit humain dont les États sont les garants, en tant que droit individuel et collectif.

    En 1978, plusieurs milliers de délégué.es, réuni.es à Alma-Ata sous l’égide de l’ONU, s’inquiétaient déjà de la montée des « inégalités flagrantes dans la situation sanitaire des peuples, aussi bien entre pays développés et pays en développement qu’à l’intérieur même des pays » et préconisaient comme solution, à juste titre, l’investissement dans les déterminants sociaux de la santé. Pour résumé, ces derniers consistent à disposer d’une alimentation saine, d’eau, d’un logement salubre et d’avoir des moyens de subsistance (un travail décent en particulier) ; cela sans aucune discrimination. C’est dire que l’accès aux soins n’est qu’un complément à ces préalables.

  • NUMÉRO 4

    CHF 8.00

    L’urbanisation et le droit à la ville

    Les populations concentrées dans les villes ont largement dépassé celles des zones rurales. Le nombre de villes comptant plusieurs millions, voire plusieurs dizaines de millions d’habitant·es ne cesse de croître, avec son lot de problèmes grandissants, parfois insolubles : emploi, logement, approvisionnement alimentaire et énergétique, transport (marchandise et humain), pollution et questions environnementales, gestion des déchets, criminalité…

    Dans les grandes villes, les autorités locales sont souvent dépassées par l’ampleur de ces problèmes. Elles ne disposent pas toujours, selon les pays, de la marge de manœuvre ni de la capacité financière pour répondre aux besoins de leurs populations, étant donné qu’elles dépendent du pouvoir central, c’est-à-dire de l’État.

  • NUMÉRO 5

    CHF 8.00

    La guerre comme outil géopolitique de domination

    Ces dernières années, nous assistons à l’intensification des conflits armés pour résoudre les différends entre les États qui font fi du droit international, ainsi qu’à la militarisation croissante des sociétés. L’augmentation vertigineuse des dépenses en armement augure de guerres de plus en plus meurtrières et destructrices : en 2023, 2’443 milliards de dollars ont été dépensés à l’échelle mondiale, dont 1’341 par les États membres de l’OTAN (916 par les États-Unis), suivis de la Chine (296), de la Russie (109), de l’Ukraine (64,8) et du Japon (50,2).

    La militarisation des sociétés est extrêmement préoccupante à plusieurs titres : l’entraînement dans des guerres destructrices qui à leur tour ont comme conséquences des violations massives des droits humains, en particulier le droit à l’autodétermination des peuples ; l’orientation des ressources vers les dépenses en armement au détriment des services publics (éducation, santé, logement, énergie…) accentuent les inégalités, tout en provoquant de nouveaux conflits encore plus graves ; menaces sur la démocratie et le vivre ensemble, comme en témoigne la montée des mouvements politiques réactionnaires, voire même fascisants.